11 September 2013

Pacific Islands Forum calls for action to address effects of U.S. Nuclear Testing Programme in the Marshall Islands

 Pacific Islands Forum Secretariat

FORTY-FOURTH PACIFIC ISLANDS FORUM
MAJURO, REPUBLIC OF THE MARSHALL ISLANDS
3 – 5 SEPTEMBER 2013

Final Communique
(excerpt)


RADIOACTIVE CONTAMINANTS IN THE REPUBLIC OF THE MARSHALL ISLANDS



49. Leaders recalled that the Republic of the Marshall Islands was placed by the international community under the trusteeship of the United Nations administered by the United States of America, both of which therefore have ongoing obligations to encourage a final and just resolution for the Marshallese people. They welcomed the recommendations in the Special Rapporteur’s report submitted to the UN Human Rights Council in September 2012 following the Special Rapporteur’s missions to the Republic of the Marshall Islands and the United States of America in March and April 2012.

50. Leaders supported bilateral and multilateral action to assist the Republic of the Marshall Islands in its efforts to engage the United States towards a justified resolution to the U.S. Nuclear Testing Programme and considered submitting letters to the U.S. Government urging the United States to take action to meaningfully address the ongoing impacts resulting from the U.S. Nuclear Testing Programme, and to the United Nations Secretary-General to address the ongoing impacts of nuclear testing in the Pacific.

51. Leaders also agreed to stand in solidarity with the peoples of the Republic of the Marshall Islands as they face the challenges of overcoming the nuclear legacy.

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geography.howstuffworks.com

“...the long history of nuclear weapons testing on the Marshall Islands has produced a significant amount of nuclear radioactive waste which is indubitably toxic in nature and less health and continue to have several impacts to the ability of the Marshallese people to enjoy the full scope of their human rights.”  -  Special Rapporteur Calin Georgescu


Also read: "Where to now for nuclear test victims?" in
August 2013 edition of Islands Business


and

Nuclear tests survivors plead with Forum Leaders meeting to raise their concerns with the U.S.

Nouvelle-Calédonie: mort de Léopold Jorédié, ex-leader indépendantiste




Libération


Léopold Jorédié, le 28 novembre 2002 à Nouméa en Nouvelle-Calédonie
 
(Photo Marc Le Chelard. AFP)

Léopold Jorédié, ancien responsable politique indépendantiste proche de Jean-Marie Tjibaou, est décédé en Nouvelle-Calédonie à l’âge de 66 ans, a-t-on appris dimanche de source politique.

M.Jorédié, qui était retiré de la scène politique locale, souffrait d’une grave maladie à laquelle il a succombé à l’hôpital Gaston Bourret de Nouméa, ont indiqué des proches.

Membre de l’Union Calédonienne (UC), parti du FLNKS, Léopold Jorédié a été un compagnon de route de Jean-Marie Tjibaou, leader emblématique assassiné en 1989.

Entré en politique dans les années 1970, ce Kanak originaire du village de Canala (côte est) a été une figure de la lutte pour l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie, lors des violences qui ont secoué l’archipel dans les années 1980.

Durant cette période, il s’était beaucoup engagé dans les actions de terrain, notamment à Canala théâtre de multiples incidents, incarnant une ligne radicale du mouvement indépendantiste.

Après le drame de la grotte d’Ouvéa en mai 1988, il n’avait pas accepté que Jean-Marie Tjibaou signe le 26 juin 1988 les accords de Matignon, sous l’égide de Michel Rocard, et qu’il échange une poignée de main avec Jacques Lafleur, chef de file des anti-indépendantistes.

Dans une interview au journal Le Monde, M. Jorédié avait déclaré dans une citation restée célèbre en Nouvelle-Calédonie: «l’esclave a accepté de serrer la main de son maitre».

Cet homme souriant avait ensuite progressivement reconnu les vertus de ces accords de paix et il était devenu en 1989 le premier président de la Province nord, issue de la nouvelle organisation politique et institutionnelle du pays.

Il a occupé ce poste jusqu’en 1995, suscitant une série de controverses autour de sa gestion de l’argent public - il avait été condamné pour ingérence en 2001 - ou de liens trop étroits avec la droite.

Ainsi en 1997, il avait été exclu de l’Union Calédonienne et avait fondé un mouvement dissident avec quelques proches, la Fédération des comités de coordination indépendantistes.

En 1999, Léopold Jorédié avait obtenu la vice-présidence du premier gouvernement de l’accord de Nouméa (1998), s’attirant les foudres des indépendantistes du FLNKS.

Maire de Canala de 1989 à 1995, Léopold Jorédié siégeait toujours au conseil municipal du village.